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  • 12 février 1809

    Naissance de Charles Darwin

    Charles Robert Darwin (né le à Shrewsbury dans le Shropshire – mort le à Downe dans le Kent) est un naturaliste anglais dont les travaux sur l'évolution des espèces vivantes ont révolutionné la biologie avec son ouvrage De l'origine des espèces paru en 1859. Célèbre au sein de la communauté scientifique de son époque pour son travail sur le terrain et ses recherches en géologie, il a formulé l'hypothèse selon laquelle toutes les espèces vivantes ont évolué au cours du temps à partir d'un seul ou quelques ancêtres communs grâce au processus connu sous le nom de « sélection naturelle ».

    Darwin a vu de son vivant la théorie de l'évolution acceptée par la communauté scientifique et le grand public, alors que sa théorie sur la sélection naturelle...
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  • 11 février 1650

    Décès de Descartes

    René Descartes, né le à La Haye (actuellement Descartes), et mort le à Stockholm, est un mathématicien, physicien et philosophe français.

    Il est considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne, en atteste cette phrase volontairement provocatrice  : « Enfin Descartes vint». Il formule le cogito – « je pense, donc je suis » – fondant avec le système des sciences sur le sujet connaissant face au monde qu'il se représente. En physique, il a apporté une contribution à l’optique et est considéré comme l'un des fondateurs du mécanisme. En mathématiques, il est à l’origine de la géométrie analytique3. Certaines de ses théories ont par la suite été contestées (théorie de l’animal-machine) ou abandonnées (théorie des tourbillons ou des esprits animaux, concept que reprendra Keynes). Sa pensée a pu être rapprochée de la peinture de Nicolas Poussin4 pour son caractère clair et ordonné.
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  • 10 février 1755

    Décès de Montesquieu

    Montesquieu, de son vrai nom Charles Louis de Secondat de La Brède, est un penseur politique, précurseur de la sociologie, philosophe et écrivain français des Lumières, né le à La Brède (Guyenne, près de Bordeaux) et mort le à Paris.

    Jeune homme passionné par les sciences et à l'aise avec l'esprit de la Régence, Montesquieu publie anonymement Lettres persanes (1721), un roman épistolaire qui fait la satire amusée de la société française vue par des Persans exotiques. Il voyage ensuite en Europe et séjourne un an en Angleterre où il observe la monarchie constitutionnelle et parlementaire qui a remplacé la monarchie autocratique. De retour dans son château de La Brède au sud de Bordeaux, il se consacre à ses grands ouvrages qui associent histoire et philosophie politique : Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734) et De l'esprit des lois (1748) dans lequel il développe sa réflexion sur la répartition des fonctions de l'État entre ses différentes composantes, appelée postérieurement « principe de séparation des pouvoirs ».
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  • 9 février 1874

    Décès de Jules Michelet

    Jules Michelet naît dans une famille aux traditions protestantes. Son père est un maître-imprimeur, ruiné par les ordonnances de Napoléon contre la presse et emprisonné pour dettes impayées. Sa mère, Angélique Constance Millet, est originaire d'une famille paysanne de Renwez, un village des Ardennes.
    Initié par son père au travail de l'imprimerie, Jules a eu la possibilité d'entrer à l’Imprimerie impériale où une place lui était offerte. Cependant, son père refusa, préférant s’imposer des sacrifices pour l’envoyer étudier au lycée Charlemagne. Jules y poursuit des études de lettres et est reçu à l’agrégation des lettres le .
    Il est nommé professeur d’histoire au collège Rollin. Il se marie peu après, en 1824.
    Cette période est des plus favorables pour les érudits et les hommes de lettres en France, et Michelet a de puissants appuis en Abel-François Villemain et Victor Cousin, entre autres. Bien qu’il ait des idées politiques fermes que lui a transmises son père — un républicanisme fervent teinté de romantisme libre-penseur.....
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  • 8 février 1828

    Naissance de Jules Verne

    Jules Verne, né le à Nantes en France et mort le à Amiens en France, est un écrivain français dont une grande partie des œuvres est consacrée à des romans d'aventures et de science-fiction (ou d'anticipation).

    En 1863 paraît chez l'éditeur Pierre-Jules Hetzel (1814-1886) son premier roman Cinq semaines en ballon qui connaît un immense succès, au-delà des frontières françaises. Lié à l'éditeur par un contrat de vingt ans, Jules Verne travaillera en fait pendant quarante ans à ses Voyages extraordinaires qui compteront 62 romans et 18.....
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  • 7 février 1812

    Naissance de Charles Dickens

    Charles John Huffam Dickens (prononcé [ˈtʃɑrlz ˈdɪ.kɪnz]), né à Landport, près de Portsmouth, dans le Hampshire, le et mort à Gad's Hill Place, Higham, Kent, le , est considéré comme le plus grand romancier de l'époque victorienne. Dès ses premiers écrits, il est devenu immensément célèbre, sa popularité ne cessant de croître au fil de ses publications.

    L'expérience marquante de son enfance, que certains considèrent comme la clef de son génie, a été, peu avant l'incarcération de son père pour dettes à la Marshalsea, son embauche à douze ans chez Warren où il a collé des étiquettes sur des bouteilles de cirage pendant plus d'une année. Bien qu'il soit retourné presque trois ans à l'école, son éducation est restée sommaire et sa grande culture est essentiellement due à ses efforts personnels.
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  • 6 février

    J'aurais pu vous parler de cette grève de 1934, Tous les journaux, les télés vont en parler et le feront beaucoup mieux que moi. Non, aujourd'hui, je me demande si l'on peut se passer d'un téléphone portable. Sans doute que non, diront certains. Et si l'on essayait une journée par an de vivre pour soi, sans être relié au monde extérieur. Quoi de  plus  agréable que de se promener au bord de la mer et de profiter de l'instant présent, de faire ses courses sans être surpris par cette sonnerie au goût du jour alors que l'on a les mains chargées de boites de conserve et que l'on ne sait pas où poser.  Quoi de plus désagréable que chercher ce maudit téléphone au fond de son sac et qui forcément va s'arrêter au moment où l'on met la main dessus, de subir le regard désaprobateur de ceux à qui évidemment çà va arriver dans les minutes qui vont suivre. 
    Aujourd'hui, cette petite invention technologique fait parti de notre quotidien offre des avantages indéniables, pour les triater les affaires, pour être joint à tous moments en cas d'évènements graves, pour partager des instants avec agréables avec les gens que l'on aime.

    Vous l'aurez compris, je ne suis pas une fana du téléphone portable et pourtant comme les autres j'en possède un. Bon d'accord, je ne m'en sers pas souvent. J'oubllie régulièrement de l'emporter, je trouve les messages plusieurs jours après leur envoi. Il est souvent déchargé à tel point que je ne peux même pas m'appeler quand je ne le retrouve plus. Mais pourtant, j'ai su l'apprécier dans des moments difficiles et je lui reconnaîs à cela son utilité. Enfin, si vous voulez me joindre, préférez le téléphone fixe, vous aurez plus de chance.

    Mais une journée par an, quelle liberté !

    Journée mondiale sans téléhone portable

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  • 5 février 1626

    Naissance de Madame de Sévigné

    Déjà orpheline de père en 1627 à un an, son père, Celse-Bénigne de Rabutin (1596-1627), baron de Chantal, ayant été tué au siège de La Rochelle, elle perd en 1633 sa mère, Marie de Coulanges, née en 1603.
    En 1644 elle épouse le marquis Henri de Sévigné1 (1623-1651) et devient veuve à vingt-cinq ans en 1651.
    Son époux est inhumé dans l'église du couvent des Filles de la Visitation Sainte-Marie, rue Saint-Antoine à Paris, de nos jours Temple du Marais. Elle en a un fils, Charles (12 mars 1648 au château des Rochers - 26 mars 1713 à Paris), baron de Sévigné, dit le marquis de Sévigné, et une fille, Françoise de Sévigné (10 octobre 1646 - 13 août 1705).
    La correspondance de Mme de Sévigné avec sa fille, Françoise-Marguerite de Sévigné, comtesse de Grignan, s’effectua à peu près pendant vingt cinq ans au rythme de deux ou trois lettres par semaine. Les lettres de Mme de Sévigné firent d’abord l’objet d’une première édition clandestine en 1725, comprenant 28 lettres ou extraits de lettres.
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